En annonçant aucun gala depuis les derniers mois, la Sherbrooke Championship Wrestling est officiellement morte. Après avoir fait renaître en petite dose la lutte indépendante dans la région de Sherbrooke avec des acolytes dévoués, Crack Phoenix aka Marc St-Onge décide de tirer la plogue après avoir fouiller un peu trop souvent dans son porte-feuille.
Avec des galas au deux mois avec une moyenne de 300 personnes, la SCW peut affirmer qu'elle a laissé sa trace au Québec, malgré le fait qu'elle soit née de nulle part, sans vétéran et légende du milieu pour l'épauler.
Cette fédération nous a refait connaître Johnny La Magouille, un personnage qui n'avait pas eu dans une vie antérieure la plus grosse chance pour exposer son talent comme manager et récemment comme lutteur. Aujourd'hui, il est membre du New Big Three (c'est BIG!). La SCW nous a fait aussi découvrir les prouesses et habiletés de Spark et Viper, de la force d'X-plicit et Billy Gibson, sans oublier les autres personnages colorés tels que Le Patriote Séguin, Random, Kira et Psycopat.
(Faut pas oublier non plus Simon Easton, Bobby Fashion, Loue, Chopper, Michael Knox et le blessé Ron Mitchell!)
En quelque sorte, merci à Marc St-Onge pour avoir donner une chance à ces lutteurs, qui garniront dorénavant les galas des fédérations avoisinantes. Profitez-en, un lutteur SCW équivaut à cinq à dix spectateurs de plus à vos galas, et que ceux-ci équivalent la heat que 50 fans peuvent produire.
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